samedi 26 juin 2010

Des fusées et des hommes

Pendant ce temps-là, alors que c'était les grandes vacances et que tout le monde s'amusait bien avec des grillades, des feux de bois et des salades de fruits, Youri Gagarine, revenu à la vie par l'opération du saint esprit, avait des problèmes dans l'espace. Un truc qui clochait avec le gros réacteur. Un truc qui était sensé faire vroum-vroum, mais sans bruit, parce que rapellez-vous, dans l'espace, il n'y avait pas de bruit. Et c'était bien dommage pour Youri.

2 commentaires:

  1. Youri, mon Youri, je t'aime.
    Je regarde présentement les étoiles en pensant aux multiples petites lumières clignotantes de ta grosse navette.
    Une fusée argentée et rutilante, tendue, phalique, toute ornée de boulons estampillés N.A.S.A, crevant la surface rougoyante d'une supernova sereine en expulasant ses vapeurs loins, très loins vers la voie lactée. Youri, mon Youri, je suis allongée sur un transat dans mon jardin de Portland Youri, et je mouille pour toi.
    "Du haut de ces astéroïdes, des milliards d'années nous contemplent..."

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  2. Ah ah ah ! Tu es cool. Je t'admire en secret.

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Me cracher à la gueule...