mardi 1 juin 2010

Ce qui s'étale sur une table en verre





Il me suffit de rouler dans une décapotable à toute allure, sans respecter les limitations de vitesse, avec de la méchante musique, camé à gogo, la pupille à peine plus grosse qu'une pointe d'aiguille, si bien qu'il faut se concentrer pour voir la tête du flic qui vous arrête et vous fait descendre du véhicule, les mains en l'air, qui vous plaque contre le capot pour vous fouiller et qui en profite pour vous tâter les couilles de sa main gantée avec des avertissements, dangereux multirécidiviste sexuel ! Détraqué de la braguette !
Ouais, je roule je ne sais où, à deux cent kilomètre-heure sur des trottoirs trop défoncés pour se souvenir de moi, avec de grosses lunettes de soleil, les cheveux au vent et certainement des trucs volés dans les poches arrières de mon blue jean. Comme toujours, le ciel est d'un bleu furieux.

1 commentaire:

  1. Ah ah ! Au fait, cette vieille pute de Louise Bourgeois a clamsé ! Bien fait pour ta gueule, Louise, tu m'as value beaucoup trop de dissertation à la con pour chialer...Va crever en enfer avec tes putains d'araignées de merde ! Rhaaaaaaaaaa, ça soulage !

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Me cracher à la gueule...